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Ecole et Cinéma : Les CE2 C ont vu le deuxième film de l’année : Goshu le violoncelliste

Publication : (actualisé le ) par Caroline COTTIN

Lundi 10 février, nous sommes allés au Rex pour notre deuxième séance de l’année.

Avant, nous avons étudié l’affiche, écouté le 4e mouvement de la symphonie pastorale de Beethoven, fait des hypothèses sur ce que nous allions voir.

C’est l’occasion ensuite de retour en classe, de donner notre avis sur le film, si on a aimé ou non, les scènes que nous avons préférées...

Nous avons également parlé du Japon, de ses coutumes et de sa culture... (en arts visuels, nous avons justement découvert un artiste contemporain,Takashi Murakami).

Chacun a écrit un petit texte et fait un dessin légendé.

Alice :

Mon passage préféré, c’est quand le coucou et Goshu jouaient et chantaient. Le coucou apprend à Goshu à jouer juste. Quand on a vu Goshu dehors, le coucou volait dans le ciel et tout à coup, la tête de l’oiseau s’est transformée en tête de Beethoven.

Sergio :

J’ai aimé quand le chat a tourné dans tous les sens, quand l’oiseau s’est cogné dans la fenêtre, quand le tanuki tapait sur le violoncelle, et aussi quand la souris et le souriceau arrivent et que Goshu met le souriceau dans le violoncelle pour le guérir.

Anaïs :

Des animaux sont venus chez Goshu.
Le chat était le premier. Il demande à Goshu de jouer une musique de Schumann et là , Goshu déchire son mouchoir et dit : « Je vais jouer quelque chose !  » Il donne des frissons au chat qui saute partout, qui devient fou.
Ensuite, le coucou est arrivé chez Goshu. Goshu a joué « coucou, coucou  » avec son violoncelle et là , Beethoven a dit aussi « coucou, coucou  » !
Le tanuki est venu à son tour. Il rêvait de taper avec ses baguettes sur le violoncelle de Goshu.
La souris est arrivée aussi avec son souriceau qui était malade. Elle lui dit qu’à chaque fois qu’un animal du coin est malade, il vient se mettre sous le plancher de sa maison et la musique de Goshu le guérit.

Alors, le souriceau est allé dans le violoncelle, Goshu a joué et quand il est sorti du violoncelle, il courait partout, il était guéri !

Elyès :

Mon passage préféré, c’est quand le chat s’est coincé dans la cage. Il sautait dans tous les sens. J’ai aimé aussi quand l’oiseau répétait : « coucou  », quand il s’est cogné contre la vitre et quand le souriceau courait dans la pièce.

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